Le rapport annuel 2018 de l’AQST

Le mot d’Alain Sauvant, directeur de l’Autorité de la qualité de service dans les transports

Lorsque la qualité d’un transport collectif laisse à désirer, il ne reste plus à son bord que les gens qui ne peuvent pas faire autrement. Alors, l’automobile règne en maître, avec son cortège d’inconvénients : consommation d’espaces urbains rares, exclusion des usagers vulnérables piétons ou en vélo, pollution de l’air et, à un niveau plus global, changement climatique. Pour que les voyageurs qui peuvent faire autrement prennent les transports collectifs, il faut que la qualité soit au rendez-vous dans tous les domaines et ce n’est malheureusement pas le cas. On pense bien sûr à la ponctualité dans les trains, qui constituent l’armature des transports collectifs. Mais les comparaisons internationales montrent également le retard de notre pays par rapport à certains de ses voisins, notamment l’Allemagne, et ce dans les nombreux domaines (…)

Au sommaire

  • Le mot d’Alain Sauvant, directeur de l’AQST
  • Le point de vue d’Hélène Marchal (Unaf) sur les transports du quotidien
  • Les trains express régionaux, les Transilien et les RER
  • L’enquête sur la qualité de service dans les transports collectifs urbains (TCU)
  • Le point de vue de Serge Mouradian (FO consommateurs)
  • Les transports aériens ; aériens et ferroviaire
  • Les trains Intercités
  • Les services autocars en « services librement organisés »
  • L’enquête sur la qualité dans les transports interurbains
  • Une meilleure qualité de service dans les transports collectifs urbains en Allemagne.

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